L'EOLIEN TERRESTRE N'EST PAS UNE FATALITÉ À LA TRANSITION ENERGETIQUE ET L'EOLIEN N'EST PAS ADAPTÉ À NOTRE TERRITOIRE.
LA TECHNOLOGIE RENDRA TRÈS RAPIDEMENT OBSOLET L'EOLIEN TERRESTRE. NE SOYONS PAS PRIS AU PIÈGE ET VICTIME DE CE DEPLOIEMENT FORCÉ ET AVEUGLE !
ALLEZ SUR LE SITE DU GOUVERNEMENT
http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees
EN VOICI UN EXEMPLE :
Toutes les idées sur la transition énergétique
EOLIEN DE HAUTE ALTITUDE
11/03/2013
(1)
Bien sûr, l'énergie la moins chére et la moins polluante est celle qu'on ne consomme pas. Il faut donc donner la priorité aux économies d'énergies, negawatt a déja fait un énorme travail sur le sujet. Sobriété énergétique, isolation des batiments, etc...
Mais pour l'énergie qu'on devra tout de même produire, et en tenant compte de la fin proche des énergies fossiles (gaz de schiste non merci), du démantélement des centrales nucléaires en fin de vie (dont le coût a largement été sous évalué) dans un contexte de peak-oil, pourquoi ne pas donner la priorité à une des sources d'énergies la plus prometteuse qui soit pour ce qui est des gisement disponibles (sous nos latitudes), coût des infrastructures et Retour Sur Energie Investie (ROEI=Return on Energy Invested): l'éolien de haute altitude.
Les critiques sur l'éolien traditionel sont pertinentes: gigantisme des éoliennes, lourdeur et coût des infrastructures, intermitence du vent, polution sonores et visuelles. L'énergie éolienne est fonction du cube (³) de la vitesse du vent. Le vent a une altitude de 1.000m, voire 10.000m est de 3 à 10 fois plus fort et ne s'arrete jamais. Le rapport de puissance développée est de de x27 (à 1.000m d'altitude) à x1.000 (à 10.000m). L'intermittence du vent à 10.000m n'existe tout simplement pas (jet stream), le vent soufflant toujours à ces altitudes ayant une force inouïe et continue.
Pour aller taper dans ces gisements quasi illimités, un simple jouet millénaire: le cerf-volant. Couplé aux derniéres innovations techniques dans les domaines de l'avionique, des matériaux composites et des automatismes hérités de la recherche aéronautique. Quelques visionnaires ont commencé a plancher sur ce sujet. Ils ont pour nom Kitegen, Makani Power, Laddermill... Comme tout projet industriel, ils ont maintenant besoin de finacement adéquats pour passer du stade de la recherche-prototype à un stade de production industrielle. Makani a bénéficié d'un investissement de 20 millions d'euros de la part de Google (intéréssé pour faire tourner ses datacenters, trés énergivores). Kitegen a obtenu quelques finacements de l'union européenne. Cela reste largement insuffisant. L'eolien de haute altitude promet un cout de 2 à 3 fois inferieur à celui du nucléaire, 4 fois inferieur à celui de l'éolien "classique". Pourquoi ne lance t'on pas un programme ambitieux de dévelopement sur une vraie énergie propre et économique, plutôt que de continuer à financer des projets pharaoniques et appartenant au passé (nucléaire: doublement du prix de l'EPR de Flamanville, dechets nucléaires dont on ne sait que faire) ou relevant de la simple utopie (ITER, fusion) qui ne tiendront jamais leur promesses... La France a tous les atouts pour se lancer dans cette aventure: expertise aéronautique, vent. A quand une politique ambitieuse sur ce sujet ?
Mais pour l'énergie qu'on devra tout de même produire, et en tenant compte de la fin proche des énergies fossiles (gaz de schiste non merci), du démantélement des centrales nucléaires en fin de vie (dont le coût a largement été sous évalué) dans un contexte de peak-oil, pourquoi ne pas donner la priorité à une des sources d'énergies la plus prometteuse qui soit pour ce qui est des gisement disponibles (sous nos latitudes), coût des infrastructures et Retour Sur Energie Investie (ROEI=Return on Energy Invested): l'éolien de haute altitude.
Les critiques sur l'éolien traditionel sont pertinentes: gigantisme des éoliennes, lourdeur et coût des infrastructures, intermitence du vent, polution sonores et visuelles. L'énergie éolienne est fonction du cube (³) de la vitesse du vent. Le vent a une altitude de 1.000m, voire 10.000m est de 3 à 10 fois plus fort et ne s'arrete jamais. Le rapport de puissance développée est de de x27 (à 1.000m d'altitude) à x1.000 (à 10.000m). L'intermittence du vent à 10.000m n'existe tout simplement pas (jet stream), le vent soufflant toujours à ces altitudes ayant une force inouïe et continue.
Pour aller taper dans ces gisements quasi illimités, un simple jouet millénaire: le cerf-volant. Couplé aux derniéres innovations techniques dans les domaines de l'avionique, des matériaux composites et des automatismes hérités de la recherche aéronautique. Quelques visionnaires ont commencé a plancher sur ce sujet. Ils ont pour nom Kitegen, Makani Power, Laddermill... Comme tout projet industriel, ils ont maintenant besoin de finacement adéquats pour passer du stade de la recherche-prototype à un stade de production industrielle. Makani a bénéficié d'un investissement de 20 millions d'euros de la part de Google (intéréssé pour faire tourner ses datacenters, trés énergivores). Kitegen a obtenu quelques finacements de l'union européenne. Cela reste largement insuffisant. L'eolien de haute altitude promet un cout de 2 à 3 fois inferieur à celui du nucléaire, 4 fois inferieur à celui de l'éolien "classique". Pourquoi ne lance t'on pas un programme ambitieux de dévelopement sur une vraie énergie propre et économique, plutôt que de continuer à financer des projets pharaoniques et appartenant au passé (nucléaire: doublement du prix de l'EPR de Flamanville, dechets nucléaires dont on ne sait que faire) ou relevant de la simple utopie (ITER, fusion) qui ne tiendront jamais leur promesses... La France a tous les atouts pour se lancer dans cette aventure: expertise aéronautique, vent. A quand une politique ambitieuse sur ce sujet ?
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